• Auteur : Meg Cabot (le journal d'une princesse est son roman le plus connus)

    Nombre de tomes parus : 6tomes

    Résumé :  Il y a un mec canon dans la chambre de Susannah... dommage, c'est un fantôme ! Susannah Simon est «the mediator». Elle fait le lien entre les morts et les vivants. Pas de répit pour elle : les fantômes exigent qu'elle achève ce qu'ils n'ont pas eu le temps d'accomplir sur Terre.Mais quand on vient d'emménager sous le soleil de Californie, qu'on est une fille et qu'on a seize ans, on préfère se balader dans les centres commerciaux plutôt que dans les cimetières... et mater les surfeurs plutôt que de s'occuper de visiteurs ectoplasmiques ! Hélas, dès son arrivée dans son nouveau lycée, Susannah comprend que sa vie ne va pas être aussi simple. Le fantôme d'une jeune lycéenne a décidé de se venger. Or, la jeune fille se trouve sur sa route...

    Editeur : Hachette Jeunesse

    Mon appréciation : J'ai beaucoup aimé tout les tomes de cette série. Elle change des histoires de fantômes que j'ai l'habitude de lire,l’héroïne,est très attachante ont apprécie vite son caractère de gentille rebelle. Elle n'aime pas beaucoup son don,sauf quand il s'agit du fantôme qui est dans sa chambre! Elle va avoir quelques problèmes à cause du fait,qu'elle doit aider les fantômes à passer de l'autre coté,même si elle s'en passerait. J'ai beaucoup aimé!

    Un extrait : La honte !
    Au propre comme au figuré, j'étais affichée. Et tous les passagers autour de moi murmuraient :
    - Oh, comme c'est mignon ! Aaargh !
    Et mes ex-voisins d'avion me regardaient avec un mélange d'affection, d'émotion et d'envie qui me donnait envie de vomir.
    «Super ! ai-je essayé de penser. Je vais bien, tout va bien, je suis gaie, tout me plaît...»
    - Ça va, ça va, ai-je grommelé en m'appro-chant de ma tribu. Je vous ai repérés, vous pouvez détruire les pancartes, maintenant...
    Sauf que ma mère était trop occupée à me serrer dans ses bras pour prêter la moindre attention à ce que je racontais. Elle répétait : «Oh, Susie, Susie...»
    Je détestais les deux trucs : et qu'elle m'embrasse pendant des plombes, et qu'elle m'appelle Susie.
    J'ai pointé mes yeux revolver sur mes demi-frères pour qu'ils ne s'avisent pas de se servir de ce diminutif. Mais ces chacals se sont contentés de continuer à sourire bêtement en agitant leur pancarte.
    Stone, c'est normal : il est trop à la masse pour changer d'attitude rapidement.

    Note : 4.5/5

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